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Dans ce registre, nous avons plusieurs projets en cours, tout d'abord le développement d'une réserve de biodiversité au lieu-dit La Rigondaine dans laquelle nous procédons à l'implantation d'une station météo afin de suivre sur le long terme l'évolution du climat local pour étudier les impacts et les adaptations de la flore et de la faune.

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Nous participons aussi à un projet de verger partagé.

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 Voir aussi les articles dans la presse

Des solutions existent…

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Voici un catalogue non exhaustif de ce que nous pouvons voire devrons faire localement pour contrer les canicules, sécheresses et pertes de biodiversité :

 

- Économiser les ressources énergétiques dans le bâtiment :

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•     Renforcer l’isolation thermique

•     Chauffer à 19-20°C max

•     Préférer la climatisation naturelle en été

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- Économiser l’eau :

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•     Agriculture raisonnée et choix des variétés supportant mieux la sècheresse ; systèmes pilotés de goutte-à-goutte pour les maraîchers

•     Au niveau domestique, placer des réducteurs de débit aux robinets, préférer la douche au bain, limiter le lavage auto, recycler l’eau de piscine, arroser jardins et potagers par des céramiques poreuses plantées (cônes d’arrosage, ollas et oyas) au lieu du classique tuyau.

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- Consommer mieux dans les ménages :

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•     Favoriser les circuits courts pour l’alimentation : farines, huiles, fruits et légumes produits en Beauce

•     Limiter la consommation de viande rouge

•     Bannir les produits industriels qui détruisent les forêts tropicales et qui nécessitent de longs transports, à commencer par ces aliments qui détruisent notre santé à petit feu (très sucré, à base d’huile de palme ou d’huile hydrogénée)

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- Transports de personnes et de biens :

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•     Préférer tant que possible la marche et le vélo pour les petits déplacements

•     Favoriser les transports en commun ou le co-voiturage

•     Préférer les automobiles légères et à petite motorisation, ou alors électriques

•     Faire respecter efficacement la limite de vitesse à 70 km/H des poids lourds sur la N20

•     Inciter l’utilisation de l’hydrogène liquide non issu des produits pétroliers comme carburant du futur, à commencer pour les bus et poids lourds, ce qui nécessite aussi une recherche et développement de production non carbonée (électrolyse photovoltaïque de l’eau plus performante ; nouveaux gisements naturels d’hydrogène gazeux), et l’implantation des pompes correspondantes dans les stations-services.

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- Productions locales d’énergie :

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•     Éoliennes : l’implantation actuelle suffit

•     Photovoltaïque : à développer sur les toits de grands  bâtiments  (écoles, salles des fêtes, granges et autres)

•     Biométhane : accepter à titre provisoire le méthaniseur implanté à Angerville, aux conditions du respect de l’environnement, de n’utiliser que déchets agricoles et CIVES sans empiéter sur la production alimentaire, et ce pour le temps nécessaire de remplacer le méthane fossile ; à terme, envisager le biométhane comme source d’hydrogène (et indirectement de graphène) selon l’équation globale :

 CH4 —> C + 2 H2

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- Préserver les espaces verts et la biodiversité :

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•     Planter des arbres en ville comme autant de puits de carbone et de zones d’abaissement de température

•     Planter des haies autour des champs

•     Développer des projets de préservation de la biodiversité comme celui de la réserve de la Rigondaine

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